Pour vous aider à y voir clair avant la date fatidique, notre simulateur DPE sur la réforme 2026 vous permet d’anticiper les effets de la réforme et de mieux préparer vos décisions d’investissement ou de location.
La réforme du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) annoncée par le Premier ministre François Bayrou entrera en vigueur en janvier 2026.
Mais concrètement, quel sera l’impact pour votre logement ? Va-t-il perdre des lettres sur son étiquette énergie… ou au contraire, grimper dans le classement ?
Calculer la classe énergétique de mon logement après la réforme du DPE de 2026 ?
Saisissez le numéro ADEME de votre Diagnostic de Performance Energétique (DPE) indiqué en haut à droite du document.
⚠️ Ce simulateur ne fonctionne que pour les diagnostics en cours de validité, c’est à dire pour ceux qui ont été effectués après le 1er juillet 2021. Les diagnostics réalisés avant cette date n’étant plus valides depuis le 31 décembre 2024.
Pour en savoir plus sur la réforme du DPE et ses incidences, consultez notre
article dédié sur le sujet en cliquant ici
En juillet 2025, le Premier ministre a confirmé une évolution majeure dans le calcul du Diagnostic de Performance Énergétique : la révision du coefficient d’énergie primaire (CEP) de l’électricité, qui passera de 2,3 à 1,9 dès le 1er janvier 2026.
Concrètement, ce coefficient traduit la quantité d’énergie primaire nécessaire pour produire 1 kWh d’électricité livrée au consommateur.
Jusqu’ici, un logement chauffé à l’électricité était souvent pénalisé dans le DPE, car le facteur 2,3 gonflait artificiellement sa consommation énergétique en énergie primaire.
Avec un CEP abaissé à 1,9, l’électricité sera considérée comme moins « énergivore » dans les calculs, ce qui devrait mécaniquement améliorer la note DPE des logements électriques.
Pour certains propriétaires, cette évolution pourrait signifier un passage de la classe F ou E à la classe supérieure, avec à la clé une sortie de la catégorie des passoires énergétiques et un maintien possible en location sans travaux immédiats.
Les annonces officielles évoquent d’ailleurs ~850 000 logements sortant des catégories « passoires énergétiques » des classes F et/ou G.